le 13
février 2007
M.
Dominique VENNER
Nouvelle
Revue d’Histoire
Ref
2rh 07C89
Référence : Construction européenne / Votre
investigation de justice
Pour info.
Cher Monsieur,
C’est avec un vif plaisir que je
vous contacte pour vous apporter un soutien réfléchi face aux difficultés
provoquées par vos positions, que j’assimile à cette noble recherche dont les
réalités humaines nous démontrent qu’elle ne suffit jamais – jusqu’à un certain
point.
L’ambition du présent courrier
est en conséquence d’atteindre le point de compréhension susceptible de
produire l’union des Français divisés[1],
de même qu’un seuil d’apprentissage est nécessaire à l’acquisition de certaines
pratiques, et à l’EST (Etude des Systèmes Techniques).[2]
Le soutien que je tiens à vous
apporter comporte deux aspects majeurs.
De manière directe, mon
initiative[3]
permet de compléter vos analyses par divers apports[4]
que seul un enseignant en mécanique passionné d’histoire comme je le suis
devenu[5]
pouvait produire, au terme de 10 ans de recherche à temps plein. Mais ces
apports sont très nombreux.
De manière indirecte, et sans
autre lien immédiat avec l’histoire que celui de l’affaire d’Ermont[6],
résolue de 1997 à 2002, en lien avec le Tribunal Administratif de Versailles,
je tenais à répondre à votre question : qui veut tuer NRH ? Et cette
réponse tient en un mot : la collusion.
Le phénomène de collusion des
travers de l’humanité, parfois fortuit mais toujours réel, a été identifié par
le peintre Appelle au V° siècle avant JC. Son oeuvre majeure, la Calomnie, est
devenue un thème récurrent en peinture. Mais de nos jours, cette sagesse semble
perdue de vue.
Au total, c’est donc tout un pan
de l’histoire que je propose de révéler à vos lecteurs. Cette ambition, qui
exige simultanément élévation et minutie, procède de la volonté de toujours
dénouer le nœud[7] des
mauvaises relations en ne renonçant ni à l’intelligence ni au coeur[8].
– et encore moins à la justice, au sommet de toutes les investigations, et de
la paix.
A cet égard, je vous prie
cependant de bien vouloir noter que, passant sous silence certaines injustices
dont vous et moi avons déjà été victimes, j’ai contacté la ministre Elizabeth
Guigou[9]
pour lui apporter publiquement mon soutien dans l’entreprise que je trouve la
plus nécessaire et consiste à sortir, en lien les uns avec les autres, du
système des pensées immédiates.
PR Crocy
Document modifié le jeudi 19 juin 2008 à 11:24 - retour á EN HAUT du document
[1] Voir la cause de cette situation
et ses conséquences majeures dans mon précédent courrier (lettre ouverte
« Euro 2007 » n° 3)
[2] En première approche, on peut assimiler les notions nouvelles
(niveau, valeur ajoutée, étape, …) à la notion d’actigramme.
[3] Je fais référence, au-delà
de notre contact, à l’ensemble des travaux de sociologie auxquels je me
consacre depuis 20 ans.
[4] Le positionnement de cette
apport est défini en lettre n° 3 note N° 7 ; quant aux contenus
spécifiques,
[5] Voir mise en situation autobiographique
(lettre ouverte n° 1)
[6] Nommé
à la tête du projet d’établissement du Lycée Ferdinand Buisson d’Ermont à une
heure de grande effervescence sociale et médiatique, j’ai en effet été
directement confronté à l’attitude anti-démocratique et à la contre-performance
pédagogique absolue des enseignants de ce Lycée, « délégués syndicaux en
tête » (Tribunal Administratif de Versailles, dossier 9902452-6, Mémoire
du Recteur, Pièce 1)
[7] Après 60 ans[7] de construction européenne commune, de la libération, en 1945, au « non » français au référendum européen, en 2005, la volonté des générations nouvelles de briser le silence relatif à l’identité culturelle allemande est donc parfaitement légitime, mais je recommande à ces dernières, partout en Europe et dans le monde, de n’aborder le sujet de la culture allemande et de la paix en Europe qu’avec la rigueur requise dans les sciences et techniques, et je garantis[7] que cette seule discipline, si elle est toujours maintenue, suffira à les préserver de dangers réels[7].
[8] J’ai d’ailleurs fait de cet
objectif un principe, que j’ai appelé le « cinquième principe de la
méthode », en référence aux travaux de Descartes dont j’ai démontré
l’actualité brûlante. C’est cette investigation scientifique par-dessus les siècles
que je vous propose notamment d’intégrer à votre revue. Une telle rubrique
contribuerait à révéler les interprétations partiales de l’histoire dont les
esprits les plus honnêtes se sont lassés, tandis que les plus modestes, à
l’instar de Jacques Brel, se voient contraints de n’avoir que l’amour. Et
l’amour, condition sine qua non de prospérité, ne peut suffire à établir
la vérité.
[9] Voir Lettre ouverte n° 2