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                        Lettre ouverte 2rh     16- 2003

 

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Lettre ouverte 2rh

Issn 1165-1407

Année 2003 –  16

Page 3 - Un entre-déchirement de plusieurs siècles

Page 6 - Trésor culturel des langues orientales

Page 7 - Les leçons oubliée du kanban

 

 

EditoCe qui manque à la France, c’est l’esprit de méthode, occulté de la manière inconsidérée ou frauduleuse, et pour le moins inquiétante, qui réduit la science à la promotion de raisonnements a-constructifs aux lieux et place des approches citoyennes attendues, et pour le moins, de l’invitation méthodologique à l’étude ordonnée d’un système. A défaut, l’oubli menace l’église et la confusion menace la laïcité : plus d’amour et plus d’intelligence sont également nécessaires au bon gouvernement de la cité. La méthode et le logo pédagogique 2rh pourraient inviter à cette sagesse moderne, et pour le moins, à plus d’honnêteté, en vue de résoudre les contentieux de l’organisation et rétablir l’autorité de la logique mise à mal dans l’enseignement par la collusion de l’insuffisance et de la médiocrité (pages générales et littéraires)

 

Sommaire  du n° 16 

 

Sciences et Techniques

Une nouveauté par-dessus les siècles

2

France

Versailles - Rapport du commissaire du gouvernement           

2

Le devoir de mémoire au centre de la modernité    

3

Aumôneries  -          Reconquérir  la spécificité du Public

4

 

Supplément littéraire

Culture  - International  - Organisation

   Critique cinéphile - Chouchou

5

   Académie de Pékin – L’école de pensée

6

   Orient - Le duel, trésor culturel des langues orientales

6

   Monde - Concevoir le 21° siècle   Les approches en lisse

7

 

 


Avertissement – Même à quatre siècles de distance, Descartes se voit semble-t-il encore trop, au goût d’une élite intellectuelle qui semble assimiler l’ordre moral au fascisme hitlérien, et pour le moins, à l’Inquisition (suite en pages 2 et 3 et 5, convergence).

IntroductionGuillotiné sous la Terreur, Lavoisier n’a pas le temps de généraliser son principe de transformation, et de conclure au Principe Fondamental de la Mécanique (page 2) auquel, en toute probabilité, il eût abouti naturellement.

 

 

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Sciences et techniques - Après l’annonce en 2002 d’un Point de vue Fondamental en Mécanique (Lettre n° 15), 2rh annonce le

Principe Fondamental de la Construction

Ceux qui entreprennent de disqualifier l’esprit américain comme ils ont disqualifié l’esprit allemand pour se soustraire à l’autorité de la logique ne trompent qu’eux-mêmes : si plus d’amour est nécessaire au bon gouvernement de la cité, moins de logique ne produit jamais que plus de confusion. Newton, déjà, s’était employé à corriger cette erreur vulgaire.


 

Deux principes – Pour l’ingénieur comme pour le pédagogue, la mécanique de Newton se décline selon les principes de la statique et de la dynamique, également dits fondamentaux, ce qui est étonnant : nul principe n’étant plus fondamental que celui de la conservation de l’énergie d’un système, l’idée, avec le P.F.M., était d’étendre les conclusions chimiques de Lavoisier au domaine d’une mécanique plus générale. Si P.F.M. n’apporte rien de nouveau au Génie Mécanique, il n’en va pas de même avec P.F.C., qui ouvre la voie à diverses perspectives industrielles et pédagogiques (voir n° 15) et fournit pour le moins le potentiel d’un arbitrage nouveau, par-dessus les siècles et conflits de la pensée.

Un manque d’honnêteté -  Au total, P.F.M. est l’indicateur de la nouveauté apportée par P.F.C. En termes de construction, P.F.M. fait fonction de détrompeur (poka-yoke) pour obliger à la nouveauté : le plus souvent en effet, le français manque du minimum de sérieux qui consiste à réfléchir par soi-même ; il réagit  plus en fonction de stimuli qu’avec sa raison, et la recherche constante d’indications lui permettant de connaître par avance les préjugés qu’il lui faudrait adopter semble interdire à son groupe de pensée l’accès à toute nouveauté, toute réalité - ce qui mène aux dérives sectaires que l’on connaît, et que l’on ne se lasse pas de déplorer.

Avertissement  (suite de la page 1) – Ainsi, depuis plusieurs décennies déjà, dans le milieu universitaire français, la tendance consiste à vouloir tuer Descartes, dont l’invitation à conduire sa pensée de manière ordonnée résonne semble-t-il encore trop au goût de fonctionnaires n’enseignant que les sciences ou les lettres, au lieu de tendre globalement ; vers plus de justice, de sensibilité, de respect, de constance et de courage sur la noble voie, par-dessus les siècles, de l’étude du système du monde ; et pour le moins, vers l’esprit de construction des métiers techniques. 

Versailles : hors de cause – Le  commissaire du gouvernement ne note « aucune erreur manifeste » dans l’appréciation des compétences d’un professeur de construction que le Recteur de l’Académie de Versailles avait suspendu en 1997 pour incompétence. Une ouverture diplomatique

 

 

 

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qui pourrait bien sauver la face de l’administration, à terme, puisque  l’enseignant suspendu est précisément à l’origine du P.F.C. : moins nuancé, le tribunal administratif de Versailles avait tranché à la faveur du Recteur (T.A.V. 21 octobre 2002) dans le contentieux administratif et pédagogique qui s’était ensuivi avec le mécanicien.

 

Mission et démission : le diagnostic – Au 20° siècle en effet, une stratégie pédagogique dangereuse (n° 15, capacité d’abstraction) est développée en réaction aux dérives sociales du 19° siècle ; barrage de l’abstraction mathématique ; vulgarisation a-constructive du principe des actions mutuelles, qui invitent le formé aux simplismes de la pensée (opposition, intolérance, racisme, violence), or l’objectif éducatif, à distinguer des objectifs qualifiants (n° 15 page 3), consiste à prévenir les dérives de la société au lieu de les dénoncer, ce qui revient à démissionner.

Inquiétudes – Nous sommes tous sensibles aux mêmes problèmes mais nos préconisations divergent : inversant les causes et les effets, l’université française dénonce la haine raciale (Assemblée Nationale, mars 2003). Son inquiétude est justifiée, mais tuer Descartes pour tenter de justifier la démission enseignante est un crime, sanctionné par la montée de l’intolérance dans le monde. Or la nature de la science est de débrouiller la confusion par-dessus siècles et civilisations : c’est pourquoi un bon gouvernement établit la priorité éducative, et s’y tient.

Devoir de mémoire – Ce qu’il faut dire, alors, pour enfoncer le deuxième clou d’un projet laïc ouvert et convenablement structuré, c’est que le premier clou de l’esprit de méthode ; défini par Descartes mais décrié (Avertissement) ; spécifié par Newton mais occulté (page 5, Convergence) ; et circonstancié par Goethe (page 5, encadré) ; est notre planche de salut. Hélas, rien n’est plus controversé que la culture allemande : 1871, 1914 et 1939 relèvent ainsi du contentieux de la France avec l’esprit de rectitude Prussien, bafoué aux traités de …Versailles – la réalité ne s’invente pas ! – une situation que Hitler, déjà, exploita à ses fins.

 

 

 

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Modernité (suite de la page 3) – Mais en 1831, la création de la monarchie belge donne peut-être aussi le coup d’envoi, par-dessus les siècles, contentieux et alliances, d’un projet de société moderne, et pour le moins rénové après la révolution française : avec l’incitation à « l’étude de la voie des savants par-dessus les civilisations », dûment motivée en 1958, la fonction royale belge apporte ainsi aux systèmes éducatifs des nations, Europe en tête, le potentiel de l’accueil pédagogique qui fait si cruellement défaut à la laïcité française et à son projet éducatif que, par un projet de loi du 26 mars 2003, elle envisage la répression … de l’absentéisme scolaire..

L’impasse – Aujourd’hui, loin de l’esprit qu’elle s’est assigné, la laïcité française se réduit en effet ; dans le public et dans le privé d’une part, à des entendements simplistes voire inhibiteurs et pour le moins contraires au besoin éducatif (page 5) ; et d’autre part, dans le public encore, par le truchement des Aumôneries de l’Enseignement Public, à la conception strictement confessionnelle de l’éveil spirituel, au lieu de l’effet éducatif motivant qu’elle pourrait tirer de la continuité, 25 siècles durant, de l’effort de recherche des hommes vers les sciences et techniques de construction modernes ainsi développées d’Euclide à nos jours.

Une spécificité à reconquérir – Par son logo pédagogique, c’est une avancée interculturelle remarquable qu’à Villeneuve d’Ascq, la tête de pont des Aumôneries de l’Enseignement Public avait su conquérir en France : trop tôt sans doute au goût d’une église dont il faut pourtant saluer l’œuvre (page 5), mais qui n’a plus aucune légitimité, dans le public, à imposer le dogme, et pour le moins, sa réticence à cohabiter avec le Zen - une perspective pourtant conforme à l’esprit et la parole de Jésus.

Pierre philosophale – Le logo pédagogique 2rh, nouvelle avancée intellectuelle, dépouillée malgré tout l’intérêt de Yin-Yang de la connotation trop orientaliste de l’ancienne tête de pont, pourrait constituer une méthode d’éveil spirituel laïque, fondée en toute clarté par la théorie des ensembles. A partir de cette plate-forme d’accueil, il est en effet possible de décliner indifféremment ; le programme scientifique et technique des filières générales et professionnelles ; la préoccupation légitime d’une culture commune, et de meilleures relations humaines.

 

 

page 5

Supplément Littéraire de la lettre ouverte 2rh – n° 16 – 2003

Un lien entre les milieux de la connaissance et du quotidien.


Chouchou-

Scénario de Gad Elmaleh

 
Critique cinéphile 

 

Text Box: L’écueil – Ni la philosophie ni la science ne peuvent faire totale abstraction de l’entreprise et de l’écueil de la conformité de l’action et de la pensée ; que Goethe a précisé en termes individuels ; qui se pose dans l’industrie en termes collectifs (p. 7, encadré 1) ; auquel se heurte l’approche française de la Qualité (n°15 page 1) ; et qu’il faut contourner (p. 7, encadré 2). Dans la société, les enjeux de la pensée sont encore plus larges, et rien n’est plus proche de la vie que le cinéma. Éloge et critique« Chouchou », qui nous aide à nous défaire de quelques idées reçues ; réussit une prouesse (Analyse); avec l’alibi qu’il ne suffit pas d’être homosexuel et arabe pour être présumé coupable, toutefois, Gad Elmaleh nique la police – mais très gentiment (clin d’œil à ceux qui ont vu le film). Chouchou ne manque donc pas de tourner Guignol en ridicule : en cela, il rejoint la grande tradition lyonnaise et l’histoire de France.

Analyse – Si la justice et le secret de l’instruction sont des sujets délicats, en France, c’est peut-être parce que les cicatrices de trois siècles d’Inquisition ont encore du mal à s’y refermer, et que toute restriction de l’information, tout secret, y sont immanquablement assimilés au dogme de l’église catholique et à ses conflits avec l’esprit moderne ; d’où la performance de Gad Elmaleh, qui réussit le plus naturellement du monde à rappeler aux vertus de la charité chrétienne : accueil, bonté, honnêteté, etc.

Convergence – Au 16° siècle, déjà, avec sa « méthode des premières et dernières causes », Newton en appelle aussi à l’honnêteté : s’il apporte jusqu’aux fondements scientifiques de la mécanique, c’est en effet pour « éviter les chicanes de ceux qui ne veulent pas changer » et interdire l’erreur (page 2, Avertissement) et la couardise qui en appellent si bien au cœur pour se soustraire aux commandements de l’intelligence, et inversement. Hélas, la sagesse de Newton a été occultée par la formulation nouvelle d’autres principes (page 2), de sorte que ce qu’il manque le plus « par-dessus les civilisations » (page 4, modernité) et leurs limites est à nouveau la sagesse et l’autorité d’un point de vue cohérent et acceptable.

 

 

page 6

Peinture :    Dai Funian

Langues orientales :  le joyau

 
La grande saga de la Qualité dépasse très largement le milieu industriel : art, langues et cultures, relations humaines… 

Culture - International

Text Box: L’analyse - Le schisme de 1054 partage la pensée occidentale entre une « orthodoxie » que la future « mécanique » ne saurait renier, et la propension, nouvelle, à faire abstraction de ce qui peut gêner la pensée dominante,  du moins, son entendement immédiat. Au 20° siècle, l’énigme de la pensée droite nous revient de l’orient sous forme de bribes. C’est le « yi-king » ; c’est le « kaizen » ; c’est le « duel »  (ci-dessous). L’école chinoise – Loin de l’engouement pour les cercles de qualité, oubliés, et d’un enthousiasme pour les arts martiaux quelque peu ambigu, l’Académie de Pékin offre au monde une peinture incomparable par le rôle qu’elle attribue au vide. Dai Funian, dont l’exposition au centre culturel Malraux de la Madeleine, l’an 2001, donne aux symboles toute leur force spirituelle, connaît très bien ce rôle, indissociable du sens esthétique. C’est aussi ce vide que l’on trouve à la base de tout art à caractère moderne ou traditionnel au Japon. Dans cet esprit, toute activité obligée est aussi une occasion d’améliorer les choses et d’atteindre la vacuité de l’esprit normalement attendue de l’exercice rituel et sérieux. Pour le moins, l’absence de préjugés favorise la rencontre humaine, et le passage de la confrontation à la coopération entre points de vue.

Le joyau culturel des langues orientales – Ni singulier ni pluriel, le duel - commun aux grammaires du sanscrit, de l'arabe, du slovène, etc.- procède d’une logique éducative intégrée à la structure de la langue : la rencontre de deux personnes est placée au centre de toute chose, ce qui apporte un éclairage plus précis à l’arbre de la productivité « Nemawashi » trouvé, encore au Japon, aux côtés d’autres indicateurs vers une sociologie rationnelle (encadré). Pour le moins, le duel oblige au respect de l’autre et à la noble recherche ; ouvre à l’amour, et à ne jamais faire totale abstraction d’un point de vue donné - une position que nous pourrions avantageusement mettre en œuvre dans le grand chantier de la paix mondiale et de nos relations obligées avec le monde, de l’Amérique, aux nations européennes, et au Moyen-Orient (suite p. 8).

 

 

page 7 Organisation

Beaucoup d’agitation ne peut remplacer un peu de sérieux : l’organisation satisfait à l’ordre sans nuire à l’intérêt particulier.

 

 

 


Entreprise - Sans la formulation d’objectifs généraux permettant d’orienter et pour le moins de susciter les efforts de chacun dans la durée, il n’est d’autre moyen de progresser que par la tyrannie du rendement (encadré) : la course obligée à la productivité, si elle est raisonnée, impose donc une meilleure approche de l’efficience, et pour le moins, une meilleure prise en compte de tous ces « petits détails » liés à la saine pratique des métiers, et qui gênent parfois.

L’approche française - (suite de l’avertissement des pages 1 et 2) L’ambition certes justifiée (encadré ci-dessous) d’un Président soucieux de maintenir la pensée française sur la scène internationale pourrait démontrer ses limites si elle n’apporte pas la preuve de sa capacité à sortir de la double-contrainte, et pour le moins, s’il continue d’être fait totale abstraction du demi-siècle Text Box: La méthode - La France peut contribuer à l’élaboration d’un projet d’intelligence européen et international. A cette noble fin, toutefois, elle doit commencer par redorer chez elle le blason de l’esprit cartésien : une première épreuve décisive.      Pierre Crocyqui vient de s’écouler, et de ses leçons.

L’approche japonaise - Anéanti en 1945, numéro un mondial de l’automobile, de l’électronique et de la banque en 1988, le Japon offre en effet un exemple mémorable de performance suivi d’autres prodiges industriels en Asie du Sud-Est : et que les français n’aient ni compris ni retenu (page 4) l’intérêt de Yin-Yang ne leur confère aucune autorité nouvelle par rapport à l’esprit cartésien (p. 8, Irak).

 

 

page 8

Text Box: A stiff upper lipp – Anglais et Américains parlent pleurent et éclatent de rire la bouche à moitié fermée, faisant de la règle « keep a stiff upper lipp », qui conseille de garder la lèvre supérieure rigide en toute circonstance, la « contrainte éducative » (visible) d’un modèle unique en occident, et caractéristique de l’intelligence relationnelle commune au rituel de communication britannique et à l’approche moderne du budo.Irak (suite de la page 6) Certes, on peut se demander « qui sont les Chiites Sunnites et Kurdes » (Le monde du 27 mars 2003) ; mais il convient aussi de s’interroger sur la diversité culturelle occidentale. Pour le moins, on ne peut observer les cultures française américaine et allemande sans souligner ; d’une part, l’esprit de rigueur cartésien et la volonté commune de construire dans la durée ; et d’autre part, la médiocrité toujours prête à fuir la réalité au risque de favoriser la dictature, à cause de ses préjugés, comme en Irak, sur les Anglais et les Américains, malgré Sangatte.

L’énigme commune – Au total, la compréhension de l’esprit britannique (encadré) représente probablement pour l’esprit français une difficulté encore plus grande que celles que lui imposaient déjà la rigueur et la créativité de l’esprit allemand (page 3) et de l’esprit extrême-oriental (page 6).

France, Angleterre A l’opposé de l’approche japonaise de l’organisation en « juste-à-temps », anglais et français semblent toutefois s’accorder sur le droit de grève, à faute des indications qui leur permettraient d’éviter les licenciements massifs par de nobles moyens, et d’orienter leurs efforts pour franchir l’écueil de l’action (page 5, encadré) de manière constructive.

USA, Japon – Avec l’organisation scientifique du travail (O.S.T.), initialement développée aux USA (Taylor), et le Système de Production Toyota (S.P.T.), ce sont ces moyens, toujours plus étendus dans le monde, que le demi-siècle écoulé vient de mettre au point : un patrimoine mondial qu’il serait bon de considérer - sauf à tomber dans les travers de l’ignorance, qui mènent à l’erreur et à la double-contrainte (Edito) - au moment de concevoir les grandes lignes éducatives du 21° siècle (page 7, l’approche française), et pour le moins, d’une diplomatie mondiale équitable et fondée.

 

Document créé ou modifié le vendredi 28 novembre 2014 à 18:52   retour EN HAUT du document