Un troisième
testament
pour grandir le caractère protestant de l’ingénierie mécanique
Nous vivons dans
un monde perverti, or ce constat
n’autorise personne à le pourrir davantage, non seulement, mais ne rien faire pour changer cette situation,
encore, c’est se rendre complice de l’aggravation des choses pour nos
enfants.
Il ne suffit pas
de s’indigner de manière sélective, mais après mille ans de discrimination contre le droit, il faut
rejeter en bloc la collusion de Rome et de la Sorbonne
contre le caractère
protestant de l’ingénierie mécanique.
Ce qu’il faut
rejeter est non seulement la trahison des
Lettres, dont les esprits
félons, dans la caverne, nourrissent l’obscurité agitée sans jamais inviter au bon niveau
d’abstraction, mais c’est aussi et surtout la tyrannie de sciences
usurpées.
Cette usurpation
est notamment caractérisée par le cheval de Troie de
la mécanique, qui enseigne sous l’étiquette de physique, les lois de l’équilibre et du mouvement de la mécanique du
système du monde.
Telles sont les pantalonnades d’un milieu académique perverti, que Voltaire dénonce en journaliste de son temps ;
et c’est ce travail qu’il faut prolonger en historien par un
troisième testament rétablissant la vérité point
par point. (31 juillet 2014)
§ Euclide et Jésus pères du Verseau
Euclide, roc de
la culture gréco-romaine, caractérisée par sa mythologie ;
Jésus, ou l’aide providentielle de l’enfant-roi à
traverser le trou noir des
sciences et techniques de la religion chrétienne, caractérisée par
ses églises.
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