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                           Le  « CPE »  vu sous l’éclairage des  « Lumières »   

 

Face à la réalité : opération chirurgicale

Mise en situation

Pourquoi ne pas gratifier les observateurs fidèles du site 2rh - dont la fréquentation confidentielle mais en augmentation sensible – une réflexion à chaud sur le monde politique ?

L’exercice revient à répondre à la question : comment interpréter l'épopée des Lumières en termes quotidiens ?  

Analyse en 3 points

En première approche, le CPE est comparable à la Pomme de discorde : l’énigme qu’il nous pose n’est autre que la double-contrainte politique caractérisée par le contentieux gauche droite du demi-siècle écoulé, et le déplacement de la zone de tension majeure déjà constaté depuis quelques année, et confirmé à l’horizon 2007. 

En deuxième approche, le dossier du « CPE » confronte les Français à 3 problématiques sensibles ; l’emploi des jeunes ; l’hyper-réactivité de la rue – que d’aucuns n’hésitent pas à qualifier de « dictature » ; l’attente d’une solution.

1. L’emploi des jeunes est un aspect (important) de l’emploi, en général, au cœur des mécanismes de la productivité, et de la réflexion sur la QPPO ;

2. La considération de la dictature de fait n’autorise personne à tirer de conclusions partisanes ; le mal n’est ni une ethnie ni un groupe de pensée ; l’autorité légitime englobe tout l’éventail des milieux de la pensée

3. Malgré le succès local de certaines entreprises (Toyota Onnaing, …) l’approche élargie du non-gaspillage exige une préparation intellectuelle et spirituelle que n’ont pas encore les français et que la QPPO tend à produire.

Au total, le gaspillage ne profite à personne, et la prédation de l’emploi, à charge d’une technocratie enfin cernée, aggrave le coût du travail 

 

Document créé le 01.04.06 et modifié le vendredi 28 novembre 2014 à 20:30  -  retour á EN HAUT du document