Culture - Droit
- Ecologie
- Education
- Information
- Pareto
- Politique
- Productivité
- Raison
- Santé
|
Renverser la médiocrité retranchée
Pas du cinéma : quand la réalité dépasse
la fiction |
Le point de vue du nombre, corrompu et arrogant, voilà,
plus que les palais et les armées,
les vains protecteurs dont le Coran nous
dit : « la maison la plus fragile est celle de l’araignée, si seulement ils savaient! » (S. 29-V. 41) |
|
Petit train-train
« Les notaires ne notifient
plus » : suite de la saga Hélary et
Neustadt proposée à la Voix du Nord. Mais passons à quelque chose de plus
constructif La vérité existe ; son approche
ne s’envisage que par étapes »,
tout le long de notre vie ; son expression
verbale, discontinue, est toujours perfectible ; seule la musique tend au partage de la joie. (consolidé le
2 juin 2014) |
Performance
de LAFESSE Mentalité d’un groupe C’est dans le
canular du « syndicat d’initiative de Dinard » que la révélation de l’impact criminel est la plus aboutie. (18 juill. 2017) § Détournement
inacceptable Faire de
l’invitation à fuir de vains protecteurs, ci-dessus définis, une incitation à
rejeter « d’autres
religions », c’est apporter la preuve de l’ignorance de sa propre
religion. D’où la jurisprudence : § Hadith (jurisprudence) « Une voie nette, ne permettant aucune confusion (…) : seul
un homme voué à la perdition, peut s’en écarter après moi. » |
Après l’incitation au crime, l’incitation au terrorisme Jusqu’où la
veulerie En présentant
comme une réalité (« Plus belle
la Vie » 27.03.2008), la fiction
d’un attentat aux J.O. de Pékin,
un certain milieu intellectuel provoque l’incitation au crime, et pour le moins, à
la haine entre les peuples. (9 juin 2012) |
Point de
vues de l’organisation Lorsque tous les
aspects scientifique, techniques, culturels et rituels ont été considérés, il
faut bien se résoudre à considérer les problèmes humains - médiocrité, vanité. § De la vanité à la corruption passive Référence : Succession CROCY, Objet : relance pour notification au syndic A l’Etude HELARY
et NEUSTADT, Par son envoi du
16 Avril 2007, votre collaboratrice Mme MELARD m’a fait aimablement parvenir,
comme je le lui avais demandé, la copie de la notification adressée le 16
janvier 2007 au syndic de copropriété de Mougins-le-Haut. A lecture de cette
pièce, toutefois, il apparaît que le travail demandé n’est toujours pas fait
à ce jour, comme j’en avais hélas le pressentiment, au vu des courriers du syndic
que je reçois encore au nom de ma défunte mère, 18 mois après l’ouverture du
dossier : § Non seulement le
travail n’est pas fait, mais il apparaît que votre Etude a mélangé deux
dossiers, et qu’elle a confondu en 2007, la donation 2001 avec la succession
2005. § C’est donc la
notification de 2001 qui est (à nouveau) parvenue au syndic en 2007, tandis
que la succession de 2005 ne lui a toujours pas été notifiée. Au-delà de l’incompétence globale de votre Etude, à nouveau
flagrante dans ce dossier, c’est hélas ma propre incompétence que je
constate, dès lors que, conseil en organisation, je n’ai pas su produire et
accepter plus tôt le fait qu’il me fallait impérativement changer de Notaire. § En 1973, je
découvre le sujet passionnant de l’organisation industrielle. § Depuis, je crois
avoir pris en compte tout ce que l’on peut et doit considérer sur ce sujet en
termes de sciences et techniques, de culture, et de rituel. § Mais visiblement,
cela ne suffit pas à englober la réalité à laquelle vous me confrontez § Je croyais en
effet que de tels niveaux de bureaucratie
ne pouvaient être le fait que des grandes
administrations, mais vous me rappelez, que le responsable d’une
toute petite structure peut réussir aussi, par un comportement inadapté, à
démotiver ses employés au point que rien ne se fait dans son entreprise sans
créer plus de problèmes qu’elle n’en règle. §
Ce problème étant enfin cerné, ce sont vos propres limites que je
vous demande de bien vouloir considérer et dépasser afin de corriger la
contre-performance ci-avant définie. (…) |
Document créé le 18 avril
2007 et modifié le 18 juillet 2017 à 19:20 - á EN HAUT