T7. Joyeuse attestation d’un « Dieu secourable » |
Fondement a-confessionnel du
monothéisme
Monothéisme révélé |
Dieu nous guide tant par l’inspiration1 utile au bien que
par son aide2 à ne pas faire mal ! |
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Confiance infinie |
1Ne pas entendre
est une erreur aggravée par l’ignorance
de la clé des songes — El miftah — dramatiquement
détournée en conflit d’intérêt imaginaire, dès lors qu’en nous
donnant le premier pilier de l’Islam, Mahomet grandit le deuxième
commandement des religions révélées avant lui ; 2les dérives
ultérieures de l’inquisition
et de son issue laïque, ne retranchent
rien à la nécessité de joyeuse soumission à Dieu ! |
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Une même introspection En élevant le Premier Pilier de l’Islam sur le Deuxième Commandement de la Chrétienté au VII° siècle, Mahomet (570-632 ?) apporte
« une voie nette » quant au dilemme de l’action, par-dessus les turpitudes de la recherche Notes de recherche 1 Référence au zen, caractérisée par Kenzo AWA. 2 La sourate de l’ouverture
magnifie l’attestation monothéiste à
un Dieu — vivant
symbole d’une nécessaire ouverture d’esprit, de perfection, miséricorde, … (Rectifié le 26 nov. 2016) |
« Caractère extérieur Nous ne disposons
pas de la faculté de commander nos propres
accomplissements. § Clé de l’espérance J’envisage par ailleurs, dans le cadre laïc de la
philosophie, avec toutes les
précisions utiles au droit théologique,
la discussion des modalités de
l’action, qui dépasse le cadre de l’Islam.
(29 déc. 2014) § Grandeur divine Fondement a-confessionnel du monothéisme Reconnaitre
l’infinie grandeur de Dieu — Allahou « akbar »
signifiant que Dieu est « le plus grand » — c’est … … reconnaitre la vanité
d’une volonté excessive. § D’où
l’attestation (« Sahada »2)
Loin de l’opposition littérale entre « Allah » et
« Dieu », par laquelle les exégètes de toutes
religions nuisent à un prosélytisme de
bon aloi, l’Islam apporte au VI° siècle, une voie nette, rendue en
arabe par les mots « la ila’ha illa llah’ », dont
une saine traduction pourrait
être : il n’y a pas d’autre issue pour l’homme que de se
soumettre à la voie extérieure. |
Ce que voulait dire MALRAUX, je crois,
c’est que le 21° siècle sera spirituel
ou ne sera pas ! (22 janv. 2015) L’Alliance consolidée ! Grandir l’Islam,
c’est non seulement faire preuve d’ouverture d’esprit, mais c’est grandir la
Chrétienté aussi ! Pour preuve, observons en première approche, que la considération de nos certitudes et leurs limites porte
un nom : c’est yin-yang.
§ Un besoin universel Ainsi, il n’y a
« pas besoin de changer de religions ! » ; nous
avons juste besoin à la fois
de plus de rigueur intellectuelle et plus d’ouverture d’esprit ! § Grandir la foi par étapes Rien n’est plus facile que de faire les choses à moitié
; tout autre est la tâche de celui qui
s’efforce de grandir le cœur
sans diminuer la raison, puis de grandir la raison
sans diminuer le cœur – et ces deux épreuves résument l’épopée humaine depuis 2000 ans. § Approche du chemin critique de la civilisation Confrontée à ses
limites pédagogiques, l’église Catholique finit en effet par rejeter toute
droiture vers l’Orient : c’est l’Inquisition (1054, 1633), tandis que mécaniciens et
protestants grandissent la raison dans le respect de la religion. (30 juin 2009) § Poursuivre
les actions de
grâce De la même manière, aujourd’hui, nous devons crever l’abcès de la collusion, préserver les
repères établis du commerce indigne des préjugés, et conforter la place de chaque religion. |
Ouverture d’esprit effective, plaire à Dieu La
revendication éclairée d’un Dieu unique ne s’oppose pas à l’éventualité d’autres sagesses mais à la duplicité de la collusion. L’invitation à la voie extérieure constitue en
effet une approche œcuménique de fait entre les points de vue du bouddhisme zen, et les communautés
musulmane et chrétienne. |
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dimanche 29 décembre 2019 à 15:17 - retour á EN HAUT du
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