|
|
Culture - Droit
- Ecologie
- Education
- Information
- Pareto
- Politique
- Productivité
- Raison
- Santé
|
Sortir de la spirale de
l’ignorance
|
Médecine dure contre médecine douce |
Ne jamais laisser les préjugés faire obstacle au droit - même pas
la référence à Dieu (25 décembre 2013) |
|
Charité
laïque
« Donner
et recevoir par une charité de proximité » : une réalité historique
et quotidienne à prolonger en nous et autour de nous, par une chaîne d’initiatives
étonnante – de Saint-VINCENT-de-Paul,
à Frédéric OZANAM, et 800.000
bénévoles irriguant le tissu social là où il est le plus fragilisé. (16 juillet 2014) |
Confusion
persistante de la mode Au XVI° siècle,
la mode est au massacre du milieu protestant par
des extrémistes catholiques ; de nos jours, la mode est au massacre du milieu
catholique par des extrémistes musulmans ; c’est de cette spirale qu’il
faut sortir en dénonçant la collusion de
l’ignorance et de l’effronterie. (14 juillet 2014) § Nécessité récurrente d’un La
spirale de l’ignorance
est l’enchaînement des
guerres que l’affrontement de l’arrogance
et du volontarisme ne manque jamais de produire lorsque le jugement de
l’intelligence est perdu. |
Service à la personne Gestation tardive Prétention ? Courage ? Comment qualifier
l’engagement de toute une vie lorsqu’on
n’en voit nulle part le rayonnement ? Et quel
lien entre la charité laïque si concrète (colonne 1) de la Société
Saint-Vincent de Paul, et l’éveil et le témoignage laïc
2rh ? (16 juillet 2014) |
|
§ Sans prosélytisme point d’école L’ambition
de stopper les guerres commence par l’affirmation de
la foi en l’esprit de raison, et c’est cette foi que le milieu protestant
conforte dès le XV° siècle dans le parfait respect de la religion. Nettoyage du phénomène de
méta-collusion Ici,
sortir d’un jeu sans fin suppose de distinguer
les causes millénaires de la confusion,
en Charybde, des graves conséquences de ce trou
noir de la civilisation, qui affectent
l’ensemble de la Chrétienté en Scylla. Ainsi,
on ne peut nier l’existence de graves conflits en
Scylla, mais toute issue d’intelligence et de
paix entre les milieux chrétien et musulman n’est pas exclue en Charybde,
bien au contraire, et cet optimisme est fondé théologiquement de deux
manières. § Optimisme
fondé D’une
part, en effet, on ne peut sérieusement prétendre servir durablement la paix
sans commencer par considérer l’avertissement
fondamental dont le milieu gréco-romain avait nanti la communauté humaine
avant l’introduction de singularités monothéistes
qui ont toutes échoué dans l’ambition légitime d’inviter à la joyeuse soumission
de nos projets à Dieu plus clairement qu’avec l’allégorie
des Roches du Pont-Euxin, si grand soit par ailleurs l’apport du
monothéisme en termes d’éveil à la conscience du droit.
Cette
prétention, caractérisée par la résolution théologique de la parabole
d’Abraham, est rendue possible par la performance du
milieu protestant — qui met fin dans le respect de la religion, à partir
du XV° siècle, aux théories absurdes de l’Inquisition contre le droit. Et
d’autre part, le dialogue interreligieux entre Islam et Chrétienté est
théologiquement fondé par la nature-même de l’Islam, dont le premier pilier conforte utilement la Chrétienté :
il n’existe aucun autre contentieux entre Islam et Chrétienté que la collusion des obscurantismes dont nous souffrons tous. § Un
chantier par étapes Lorsqu’à
la propension regrettable, s’ajoute la démission
de l’école, alors, plus rien n’empêche la guerre de se développer. L’école
est sensée apporter des repères : lorsque les repères ne sont plus
transmis, les enseignants ne peuvent s’en prendre qu’à eux-mêmes. Au
total, l’angélisme – qui connaît mal l’humanité - et le volontarisme
– qui ignore les subtilités - sont les deux aspects de la même ignorance
du shugyo. |
||
Document créé ou modifié le vendredi 28 novembre 2014 à 15:49 - retour á EN HAUT du document