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Résolution laïque et
théologique de l’alliance
« Vu les signes, le temps nous est compté » |
Il s’agit moins de « réhabiliter la religion », même sous l’effet salutaire de quelque
lumière laïque, que de
dénoncer la collusion sans fin de petites entorses
au droit apparemment sans importance, mais dont les renoncements
successifs produisent mise en esclavage et crimes de génocide.
(7 sept. 2015) |
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Dieu y es-tu ? Evoquer Dieu, c’est produire de manière implicite, une invitation au bon comportement, en référence à l’infinie droiture intellectuelle et morale du
Créateur ; Invoquer Dieu, c’est lui adresser une prière directe, alors qu’il
existe d’autres moyens de communiquer avec lui, à commencer par le rêve Américain … (2 août 2009,
finalisé le 4 sept. 2013) Ce qu’il faut aux ministres des églises,
c’est un enseignement honnête, qui ne passe sous silence ni la question de
l’intelligence ni la question du cœur. |
Ferveur religieuse Certes, des démonstrations de violence ne plaident jamais en faveur de
leurs auteurs, mais toute démonstration de
ferveur n’est pas nécessairement obscure ! Or certains, non
contents de réduire la Renaissance à la philologie des Lettres anciennes,
pour occulter les Lumières protestantes,
voudraient maintenant occulter toute religion, avec l’alibi des droits de
l’homme, qu’ils réduisent à leur combat partisan contre toutes les valeurs de la spiritualité. (16 septembre
2012) Résoudre la dérive théologique ne suppose aucune connaissance
religieuse particulière : la religion,
en effet, ne tend jamais qu’à satisfaire les exigences suprêmes de plus d’amour, de sagesse,
et de justice ! |
Ruiner, dans le respect de la laïcité, la dérive indigne de l’obscurantisme laïc contre la religion Sceau de la religion
L’idée d’un sceau
de la religion se réfère à la notion existante de liberté de conscience, qu’elle complète par le caractère
explicite d’un équilibre mental
entre l’intelligence non refoulée par de simples paradoxes, et le cœur non déplacé,
face à la responsabilité :
§ Face à la brutalité Il ne s’agit pas
de renoncer à la force mais d’en pondérer l’emploi par la mise en oeuvre d’une diplomatie
internationale en vertu de laquelle nous ne pouvons faire l’économie de prendre nos responsabilités dans le domaine théologique, mais nous devons au
contraire § Face à la prière L’invitation à la
prière, hautement méritoire, présuppose toutefois d’évoquer les
deux écueils — Charybde et Scylla
! — que sont l’insuffisance et l’excès de volonté ; ne jamais
évoquer Dieu, c’est se rendre complice d’un gaspillage facile à éviter ;
et plus grave encore, c’est abandonner le droit à des dérives religieuses
brutales. § Face au droit Pour autant, cette
saine ouverture d’esprit ne doit pas être amalgamée à
la pression absurde d’une dérive théologique aveugle laissée sans contre-pouvoir
philosophique éclairé, au risque de faire retomber la société dans
l’ornière de la double-contrainte par l’ignorance de la théologie de la libération. (4 sept. 2013) |
La prétention à
résoudre la dérive théologique n’exige, c’est la connaissance de la dérive théologique, à charge de la
mauvaise foi retranchée derrière l’autorité des diverses instances
détentrices de l’autorité. Il suffit alors
d’observer que cette dérive est la même aux époques les plus agitées de
l’histoire, nonobstant le caractère évènementiel de l’histoire
dont l’alibi
conduit au rejet de l’autorité de la logique. |
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mercredi 4 juillet 2018 à 03:39 - retour á EN HAUT
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