| E5. Longue marche vers l’ordre et la paix  | 
 Approche  aconfessionnelle   du 
monothéisme
                           Approche  aconfessionnelle   du 
monothéisme 
| Juste tension
  d’un principe
  directeur commun aux huit obédiences
  pour se libérer de la vanité du nombre | Clés laïques | Besoin
  - Action - Agrément  | |
| Prolongement religieux | Vulgarisation
  - Elaboration - Encadrement - Attestation - Modélisation - Obédiences | ||
| Face à la
  brutalité, nous devons prendre nos responsabilités
  et nous
  positionner par rapport aux faits, ce qui inclut de prendre part au débat théologique,
  et même de l’arbitrer !  | |||
| Agir et non-agir, Le caractère
  extérieur de nos accomplissements ne concerne pas 
  (seulement) la spiritualité
  mais (aussi et surtout) l’organisation
  d’entreprise. Les préjugés des huit obédiences Sont gratuits, non seulement, et de plus, ils sont entretenus par le milieu universitaire ;  Une pierre à l’édifice  Respecte la double-conformité, non seulement,
  mais elle coûte très cher  | Commandements
  et ressources de la
  double‑conformité,  Se libérer
  de la vanité du non-droit : L’expression de joyeuse
  « soumission » à la bienveillance divine — invitation à comprendre le caractère « extérieur » de la volonté divine,
  à la frontière métaphysique entre philosophie et religion — est à considérer avec raison, sans arrogance, ni violence
  — conformément au droit … … afin de purger nos peines
  et renaître à nous-mêmes. (28 déc. 2014, rectifié le 6 nov. 2017) §  « Robustesse
  et simplicité »
  (Marc ALLENBACH) du Plan d’aide sociétal Remise en fonction de l’état de droit par le « démarrage étoile ‑ triangle » d’une société asynchrone.
  (9 janv. 2016) §  Un solide équilibre face aux  Des satisfactions inattendues rendues accessibles
  par la perspective
  commune et les engagements
  complémentaires des groupes majeurs. §  Ni volontarisme
  ni laisser‑aller La faculté de
  commander nos propres accomplissements ne nous appartient pas,
  mais au-dessous d’un certain niveau d’initiative,
  même Dieu
  ne peut rien faire pour nous. | « Oui, je ferai alors aux peuples des lèvres pures, pour qu’ils
  puissent tous invoquer le nom de Yahvé » (So 4:9) « N’obéir qu’à Allah ? » 
 | |
| Approche du caractère extérieur Le fait que nous
  ne disposions pas de la faculté de commander nos
  propres accomplissements ne signifie pas que nous ne disposions
  d’aucune initiative : l’accomplissement, dit « extérieur »
  par Kenzo AWA, se réfère à la double nécessité de
  « tendre ses forces » vers un accomplissement extérieur, et de savoir « attendre » dans cette juste tension, pour éviter
  toute double-contrainte
  entre renoncement et volontarisme. §  Un « Dieu-processus
  » ? Comment tout cela
  fonctionne-t-il exactement ? « Je serais le dernier des maîtres si
  je le disais » (Kenzo Awa, Bibliographie) Contentons-nous
  alors d’observer que la mise en œuvre de l’exigence légitime
  impose un certain
  vocabulaire : la recherche de la qualité
  consiste déjà à ne pas rejeter
  la nouveauté avec l’alibi que le vocabulaire
  associé dépasse les 300 mots utilisés au quotidien, et le mobile de rejeter
  l’autorité des commandements
  de l’esprit. 1.   
  Certaines situations sont si gênantes que le seul
  moyen de préserver « l’harmonie
  générale » (japonais
  « tatemae ») est de les décrire de
  manière moins gênante, quitte à devoir faire preuve d’invention. 1.   
  Anglais et Japonais ont depuis longtemps compris la nécessité du
  recours occasionnel à cette extrêmité, tandis que les
  Français persistent, pour continuer commodément à ne pas changer,
  à propager les fictions respectives de l’humour anglais
  et du caractère impénétrable de l’esprit japonais. 2.   
  Pourtant, il faut reconnaître à une Française, le mérite d’avoir
  compris et mis en œuvre ce procédé moral avec succès, en prétendant que sa
  belle-mère était arabe, pour donner à sa famille algérienne de meilleures
  chances d’accepter son nouveau mariage
  avec un Français, présenté dès lors comme « métis », alors qu’en
  réalité, il est français. 3.   
  « Fort heureusement, les choses
  finissent toujours par évoluer en bien, mais il y a 20 ans encore,
  en Algérie, on aurait tué une femme qui aurait épousé un Français,
  même converti », déclare-t-elle. Peut-être faudra-t-il attendre encore
  20 ans pour voir disparaître l’esclavage familial auquel certains parents
  sont encore soumis sans le moindre égard ni remerciement. Mais revenons-en à la problématique de « tatemae-honne ». 4.   
  En recourant à l’invention – pour ne pas parler de mensonge
  diplomatique – cette femme sage tend, comme savent si bien le faire, donc,
  les Anglais et les Japonais, à « sauver la face » de certains membres de la communauté algérienne, afin de
  leur éviter la déconvenue d’être pris en flagrant délit de racisme : le moins que l’on puisse dire est en
  effet que l’incapacité à accepter l’idée d’un Français dans sa famille
  témoigne d’un certain manque d’ouverture
  d’esprit. 5.   
  Or l’ouverture d’esprit est la première vertu du bon Musulman. C’est dire combien cette femme s’est
  montrée avisée en choisissant de produire un petit mensonge - au demeurant
  énorme vis-à-vis de ma propre famille – plutôt que de révéler une vérité insoutenable : certains
  personnes, en Algérie, sembleraient manquer d’ouverture d’esprit – et
  partant, elles seraient éloignées de l’Islam. 8.    Le fait qu’on puisse considérer  la « conversion
  à l’Islam » comme un acte de foi en l’esprit de raison peut
  ne pas être venu spontanément, en effet, à l’esprit de certaines personnes,
  qui semblent parfois en manquer singulièrement.
  (Sept. 2007) | |||
Document créé ou modifié le
samedi 10 juillet 2021 à 15:59  -  retour á EN HAUT du document