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La France victime de la confusion
Nécessité
d’un mémorial aux victimes de la confusion et de la désinformation, quant à l’esprit français — non dépourvu
de cynisme, voire corrosif |
Approche objective |
Chronologie
abrégée - Dérive
politique en Charybde - Dérive politique en
Scylla |
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Descartes, Diderot, et Voltaire, s’ajoutent — avec Copernic et Galilée,
persécutés par Rome — aux victimes du crime de masse
contre le milieu protestant — développé en France depuis 1572.
L’omission du devoir de mémoire envers ces victimes dénote la confusion aggravée par l’assassinat du père des droits de l’homme — Louis XVI — et l’apologie
du crime de masse. (28 déc. 2014, rect. 6 fév. 2017) |
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Persécutions et crime de masse Le crime intellectuel
contre nobles et
protestants, Plébiscite honteux
de la « révolution » — en prélude aux camps d’extermination
nazis du XX° s. Développement du crime de masse 1572, massacre de 2000
protestants 1792, décapitation de
3000 nobles 1793, extermination de 5000 prisonniers politiques Contre des Catholiques 1887, c/ Arméniens 1996, c/ moines de
Tibhirine 2010, c/ Coptes Contre les Juifs 1936, camps nazis Contre les riches 1949, en Roumanie 2006, en France 2014, en Transylvanie Hommage au Père des droits de
l’homme en France |
Mépris
systématique Que
Madame TAUBIRA ait voulu rendre hommage à ses ancêtres est légitime ; que
l’on présente le rappel au droit comme du racisme ne l’est
pas
§ Un diagnostic controversé
Ce sont les deux
initiatives majeures (ci‑dessous) de la garde des sceaux, qui justifient le diagnostic, certes
controversé, de : « pas bon ! » (16 novembre 2013) |
Terreur, Grande
Terreur, au moins 50.000 victimes par la guerre civile
de 1789 à 1794 — plus connue sous le nom de Première
République française Massacres et persécution
prouvent la continuité des crimes contre l’humanité commis en
France depuis 1789, voire depuis 1572. § Massacre les droits de l’homme ! En France, où 3000 décapitations passent pour
« glorieuses » lorsque les victimes sont royales ou nobles, les
Français ne s’émeuvent même plus du silence
complaisant sur les violations des droits de l’homme de la
Première République § Exaspération
républicaine face au
socialisme C’est cette
injustice et cette indécence qu’il faut corriger en priorité, pour compenser
le mépris de l’action « culturelle »
de la ministre socialiste - certes portée par l’erreur commune |
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Budgets dispendieux, et provocation indécente ! Y a-t-il ou non
diffamation, dans le détournement contre la ministre TAUBIRA, d’un slogan
considéré comme raciste ? Le slogan « y’a pas bon
TAUBIRA ! » - auquel se réfère la revue juridique Lextime [1] - pourrait passer pour
raciste si l’action politique de Christiane TAUBIRA était sans lien avec la
race, ce qui sauf erreur, n’est pas le cas. § Christiane TAUBIRA, à contre-courant du droit Le diagnostic
« pas bon » se réfère en effet aux deux actions majeures de la
garde des sceaux, dès lors que la première fait l’impasse sur les droits de
l’homme, et la deuxième protège
directement la récidive - ces deux initiatives allant
manifestement à contre-courant de considérations
équitables sur le droit. § Claudine DECLERCK, parti pris pour le droit ! Dès lors,
l’expression du diagnostic « pas bon » constitue un parti pris pour
le droit, et sa contre-apposée
« y’a pas bon », que LEXTIME qualifie de
« pastiche », permet de circonstancier ce diagnostic général par
rapport à la connotation raciale de l’action « culturelle » engagée
par la ministre de la justice. § Contre le crime racial et le mépris des droits de l’homme Dès son arrivée au
pouvoir, la porte-parole de la Guyane française s’était dédiée à la création
d’un mémorial aux victimes du commerce triangulaire de 1674. Mais en
choisissant, à Nantes, de porter l’éclairage sur les crimes raciaux du 17°
siècle plutôt que sur les crimes politiques du 18° siècle, la compassion de
la ministre pour ses ancêtres, humaine et légitime, occulte en effet des
crimes de masse plus récents. (16 nov. 2013) § Indignation sélective En choisissant de
porter l’éclairage, à Nantes, sur les crimes raciaux du 17° siècle, au mépris des victimes politiques du crime de masse systématisé par les révolutionnaires de l’an I,
dès le 18° siècle, plus proches de nous, Christiane TAUBIRA
révèle finalement, sous les abords d’un discours
engageant, le vrai visage de
la gauche. Et c’est ce parti pris que, le slogan attribué à l’UMP
le 15 novembre 2013, dénonce avec finesse. |
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2016 et modifiée le samedi 1er septembre 2018 à 13:12 - retour á EN HAUT du document