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Langage universel de
la musique
Le temps déchiqueté
enfin reconstitué |
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Action musicale « Ragged-time » américain et
« Weltschmerz »
allemand Cultiver la tristesse musicale et l’ennui,
avec l’alibi du romantisme allemand,
c’est ignorer le cœur sans grandir la musique (26 juin 2010) Enfant, lorsque
j’entendais les tambourinaires — prononcer tambourinaïre
— j’avais l’impression de manger du soleil ! Puis j’ai pensé à WAGNER
— tellement déçu par la pauvreté
harmonique de la musique Yiddish. Et soudain, j’ai
réentendu la petite valse lancinante du cœur calme, d’ENESCU. Et j’ai réécouté
les ritournelles. Jusqu’à retrouver le calme et le soleil de la vie. Et la
force d’affirmer « je suis GALILEE ». Nous sommes
tous GALILEE. Montrer son cœur
ou montrer son cul c’est pareil, dit BRASSENS. Mais pour montrer
son cul, il faut déjà avoir le courage de grimper assez haut. (10 janv. 2015) |
La trace des anciens « Un sapin n’est ni ancien ni moderne » ;
« je dis une chose et tu en comprends enfin deux
» (Confucius) Parler de musique
classique ou moderne n’a pas plus de sens ! § ZUCCHERO
così
grande « … Che illuminì il mondo ! » Au fond de mon coeur Au fond de mon cœur, il y a le « ragged-time ». § « Bethena », de
Scott JOPLIN |
Un
certain ralentissement n’exclut pas l’énergie
mais la stagnation, au profit mutuel entre
Rythme et législation
Changer le monde en douceur
consiste à respecter ce qui a été bien fait, puis à ralentir son rythme de travail et de vie
jusqu’à trouver celui de la société pour modifier ce qui demande à l’être. Or cette
performance, qui suppose déjà d’éviter le travers de l’agitation,
exige de mettre en œuvre beaucoup d’énergie — contrairement
aux clichés sur le Zen. (10 mars 2015) |
A l’heure où la confusion bat son plein – au point du rétablissement des Lumières,
donc – il n’est pas de plus grand réconfort pour l’âme que d’entendre, dans
un registre parfaitement actuel, la complainte si sensible, si juste et si
touchante de nos aînés. O Scott Joplin, Quel Coeur de géant ! Quelle âme pleine
des turpitudes de l’humanité ! Et quel art
consommé de transcender la douleur en un baume si durablement
exquis ! Hélas, moi aussi
je ressens, Intimement mêlés, La force de mon
art, Et le défi
toujours plus grand de la vie. Tu nous as tout
donné, et nous avons tout aimé Entendre une
musique aussi humaine ne peut que réveiller les âmes les plus endormies et
lever les enchantements les plus mauvais. Pour le moins, elle nous aide à avancer dans notre propre vie,
sachant que l’humanité est une et indivisible Ainsi, O Scott,
ami le plus fidèle de toute ma vie lorsque tu as
écrit cette musique qui m’a fait pleurer, et que, je l’apprends,
tu étais au sommet de ta carrière, tu venais juste de
perdre ta jeune épouse. J’entends ta peine
et j’avance (PR Crocy, 2005) § Si vous pouviez explorer mon coeur Vous commenceriez par entendre du rag-time … Ensuite, vous verriez le ciel de la Côte
d’Azur Vous verriez des marins américains en tenue blanche enchanter vos
ballades d’enfant à vélo sous le
soleil Vous aimeriez Gene KELLY et Fred ASTAIRE,
puis vous découvriez par hasard les livres de Dale CARNEGIE,
un texte vivifiant
du Général MAC ARTHUR, et vous aimeriez la douceur recueillie de la
belle Tonya KINZINGER. Et alors, tout comme moi, vous commenceriez à comprendre que tout
ce que vous êtes est né en 1944, trois siècles
exactement après le pari cartésien, et que dans votre cœur coule
un peu du sang de toutes les nations.
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Document créé ou modifié le lundi 7 janvier 2019 à 08:51 - retour á EN HAUT du document