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Emprise totalitaire sur tous les fronts
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Observer les faux‑témoignages, et ouvrir les esprits à la nouveauté |
Dans son essai
« Dernier jour de décembre, entre métaphore et politique » — Taïda, 2004 — Maria Cozma conforte les liens
entre philosophie et droit. Huit ans après son témoignage sur « les derniers jours
de Timisoara », wikipédia conforte les contre-vérités du milieu académique au profit de l’imagerie franco-communiste,
précisément dénoncée. |
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Le parisianisme
décadent résiste à toute forme de culture et ne reconnaît ni le génie musical de Amy WINEHOUSE ni le génie poétique de Maria COZMA pourtant
caractérisé par la puissance de
la métaphore, entre « philosophie, poésie et droit ». (20 Août 2011) Une tromperie caractérisée La dictature Basescu présentée comme
une « démocratie », et le retour au droit comme une
« anomalie » Article suspect de
Courrier International Roumanie_ La justice n'a plus peur de s'attaquer aux hommes
politiques Courrier international.mht « Publié le » |
A quand une « belle cicatrice » Pouvoir le dire ! (1° janv. 2017) § Qualifier les crimes de Timisoara Attentat criminel de 1989, commis en dernier recours (Scylla) contre le
peuple roumain, par un establishment
soucieux de maintenir ses « avantages acquis » (en Charybde) § Destruction de la vie sociale De Charybde, par
haute trahison, en Scylla, par le crime organisé. § Approche de la spiritualité Maria Cozma, « l’une des rares personnes qui sache
combiner harmonieusement, philosophie,
essai et poésie » — § L’ambroisie, nourriture des Dieux Cordial : référence à de bonnes relations humaines, caractérisée par
une « boisson » alcoolisée ; spiritueux ; spirituel. Boire : « l’hai bevuta ? »
demande l’italien, pour suggérer un petit effort de
réflexion Mi sono spiegato ? - Tristement réduit
en français à « vous avez
compris ? » |
Approche d’un système
totalitaire sur le Front
de la corruption Roumanie, assurés toute
notre vie de boire la potion ? § 2015, du silence à la tromperie Face à la progression du droit, la presse
corrompue se déchaîne après 10 ans d’un épais silence, pour dissimuler
les trafics des magistrats roumains et occulter la vérité, tant redoutée,
par une tromperie (Colonne 1)
caractérisée. (9 avr. 2015) § 2012, dissimulation de Timisoara Que le milieu
universitaire français s’intéresse à Timisoara, après vingt ans d’un silence étouffant, ce n’est que pour
mieux noyer le poisson et ramener l’exceptionnel — l’effet boule de neige du
témoignage d’un prêtre redonnant l’espoir,
à l’ordinaire — l’image d’Epinal de la Liberté guidant
le peuple oppressé par « la droite » : ici, c’est un
demi-siècle de désinformation communiste sur « l’Ouest », qui est
occulté au détriment du droit, pour dissimuler — tant que faire se peut — les
exactions d’un système trompeur,
soucieux de sauvegarder son commerce
par tous les moyens. (30 mai 2012) |
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En poussant l’investigation
bien au-delà du visible, ce que Fumihiko SORIi parvient à nous montrer, dans Ichi, femme Samouraï, c’est une
carte du monde de l’humanité retrouvée. Pour le moins, il
choisit résolument de prendre en considération et montrer les méfaits d’un isolement
non choisi. Peut-être vaut-il mieux parler alors de phénomène
d’exclusion. C’est là que l’ascèse du budo prend toute sa valeur : le cinéaste humaniste,
promoteur des arts martiaux et de la culture japonaise,
devient à la fois sociologue et médecin. § Paradoxe de
l’humanité La pertinence de
son choix, en effet, nous est révélée par la considération du Syndrome Dirk HAMER
(DHS) : « je n’existe que si tu existes », dit aussi l’éthologie, Boris CYRULNIK. En poussant la
logique jusqu’au bout, le cinéaste japonais a redessiné la carte de
l’humanité. Ses détours peuvent effrayer. Mais ce qui est effrayant, n’est-ce pas
l’absence récurrente (encadré) de droiture ? (25 mars 2010) |
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