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Règlements de comptes
absurdes
« Mozzi » Français ! |
Soyons cartésiens,
c’est la matière à
réflexion qui manque le moins |
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Approche de la tragédie Ce dont ne veut
surtout pas la mauvaise foi, c’est de la contrainte
par laquelle elle serait réduite à changer de mentalité, car elle y tient.
Par cette transgression à la morale,
elle se définit sans honte, et son arrogance est l’alibi par lequel elle
justifie ses manquements à la logique et au droit : « on lui doit
bien ça ». (Suite en colonne 2) Bêtise humaine
et méchanceté révèlent un même manque d’intelligence
et produisent et guerres En aval Diminution de la vie sociale et prédation
du travail par l’impôt. En amont L’école aggrave les
préjugés au lieu de les diminuer, les problèmes
s’accumulent et sans vergogne, la vermine passe de l’insouciance, à la guerre
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Intellectuels ‘‘ratés’’
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Intentions et critères de
bonne éducation Une table et une chaise Curieusement, l’Education
Nationale française a pris la peine de codifier le minimum de
courtoisie exigible. § Envers
les inspecteurs Le minimum exigible envers un Inspecteur venu faire son travail -
si ambigu soit parfois le recours au corps des
Inspecteurs, concerne l’organisation matérielle : « au moins une
table et une chaise ». § Envers
l’élève En respectant symboliquement ce minimum, l’éducation nationale garantirait à l’élève le même droit face à l’autorité dévoyée de la collusion, caractérisée par le marxisme. |
Loi de 1949, un témoignage
historique de l’aridité des cœurs Enfant, le travail aux champs était
épuisant. J’ai survécu grâce à ma grand-mère, toujours éclairée par un
sourire d’une spiritualité tendre et subtile, explique Maria CROCY, grand
témoin de « la voie originale » proposée par Ceaucescu … et témoin
direct du témoignage de sa grand-mère. « Ils ont tout emporté, nous n’avions
plus rien » La loi de collectivisation de 1949 touchait « les propriétés de …
plus de 10 ha »1 — et non de « 50 ha »2
comme l’indique le Petit Robert 3 Ils ont tout pris – terrains, forêts,
bâtiments. Et même ma petite machine à coudre, qui servait à tout le village,
nous n’avions plus rien pour coudre. Et lorsque je suis montée au grenier,
ils avaient balayé jusqu’au dernier grain de maïs ... Comment
ta grand-mère a-t-elle fait pour survivre ? Grâce à la communauté
orthodoxe. » |
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Note 1 – Lors d’une deuxième vague
collectiviste, ces criminels n’ont plus laissé qu’un seul hectare à chaque
paysan — et bien souvent, plus rien … » (Témoignage de Maria CROCY, recueilli le 8 oct. 2016) Note 2 – L’information du Petit Robert sur la loi de 1949 est donc fortement
erronée sur ce point. Il faut être corrompu
ou peu au fait des choses pour prétendre qu’on laissait 50 hectares aux
paysans sous CEAUSESCU, alors qu’en France, après-guerre, une exploitation
dépassait rarement 25 hectares — seuls de
gros fermiers possédaient déjà 50 hectares (témoignage personnel,
Puyghilem, 1964) Note 3 – La preuve de ce mensonge ne concerne pas le Petit Robert, mais
les concessions sordides à des éléments infiltrés, sans lien avec le travail
et la réalisation remarquables de l’œuvre analogique de Paul ROBERT. Voir
aussi ressource N° 50 note 3. |
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jeudi 24 décembre 2020 à 09:45 - retour á EN HAUT du
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