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Chute et continuité
du
communisme
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Droit international, « ligne claire »
des savoirs utiles |
Le régime de
« sécuristes » roumains — équivalent de
l’ancien KGB, en Russie — parvenus au pouvoir en 1989, se retrouve
aujourd’hui insidieusement
installé dans l’Union européenne — depuis 2006. (22 juin 2016) |
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Jubilée 20° anniversaire
de la chute du mur de Berlin,
dûment fêté en Allemagne, en l’honneur d’Helmut KOHL,
qui fait de son pays la pierre
d’angle de l’économie mondiale. A noter : Helmut KOHL, Citoyen d’Honneur de Ludwigshafen, capitale mondiale de la
chimie — au centre de l’épopée des
sciences et techniques. La performance allemande — boudée
par les medias français — cache une performance morale
que nous devons comprendre |
« 1989 », bilan contrasté
La « chute du communisme »
recouvre des réalités bien différentes. § Continuité
sournoise, à l’Ouest Il y a aggravation continue du joug communiste — en France,
et continuité de la dictature
— en Roumanie. § Retour
salutaire au droit Chute en douceur1 du communisme
en Tchéchoslovaquie comme en Allemagne de l’Est
immédiatement fusionnée avec la Bundesrepublik — et
progressive dans l’ancienne « URSS » dissoute avec élégance, au
profit de l’actuelle Fédération de Russie — depuis 1992. Note 1 – Révolution de velours 1989, Helmut KOHL Alors que le passage à la monnaie
européenne restera sans doute attaché au nom de MITERRAND, celui du
Chancelier Helmut KOHL, artisan de la vision historique
de Willy BRANDT, est indissociable d’un événement d’une toute
autre portée : la chute du mur de
Berlin, érigé une nuit de 1961. § Résistance des historiens français Mais
l’establishment communiste continue son travail de sape en nourrissant les
inimitiés et l’incompatibilité
prétendue entre « culture française »
et « culture allemande », pour maintenir
le commerce de la fiction. |
Communisme et
criminalité l’Union
européenne En ruinant les noirs projets de la
collusion, la révélation de Trianon obligeait la coalition franco-américaine à considérer la
diplomatie Russe, qui grandit le droit international au
Moyen-Orient. (19 mai 2016) § Un
engagement très modéré Nous observons la trahison continue du
crime organisé, gêné par la solidarité entre Moscou et les capitales occidentales : par cette distance, la presse,
trop souvent captive de préjugés infondés,
entend se réserver la possibilité, à peine voilée, de critiquer le chef de la
Fédération de Russie à tout moment. § « Détroits
dangereux » Ce qui passe encore mal, pour la
collusion, c’est d’avoir dû avaler « Trianon » : en Transylvanie, pourtant, tout avait été réglé
contre la Russie comme sur du papier musique ! Il suffisait de mettre le
feu aux poudres pour créer une troisième guerre mondiale. Les belligérants,
qui se réjouissaient déjà, ont encore du mal à renoncer à leurs trafics, éventés
in extremis par une juriste
internationale analysant de graves violations du Traité de Trianon. § « Action
docile » la crainte communiste de voir ses trafics
immobiliers révélés par un génocide,
en Roumanie, est d’autant plus grande qu’en France, nous dénonçons déjà le mensonge d’Etat et les trafics
du communisme contre la démocratie. En
1989, Allemagne et Russie se libéraient du communisme.
Aujourd’hui, la révélation de Trianon pourrait libérer Bucarest.
(19 mai 2015) |
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§ Dynamique
mondiale vertueuse —Allemagne, Russie, BRICS Si la performance
humaine du chancelier KOHL n’apparaît pas encore clairement aux yeux
des Français, c’est parce que la mauvaise
foi
s’emploie à rendre les choses plus compliquées qu’elles ne le sont
en réalité ; aucun dictateur ne
méritera jamais le respect, qu’il ait nom Hitler ou bien Robespierre ;
l’Allemagne et sa culture
ne se peuvent réduire au nazisme
sans commettre une erreur grave
doublée d’une injustice
flagrante. L’incitation à la haine, en France, doit y faire place
à l’incitation à l’étude. |
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vendredi 10 février 2017 à 17:02 - retour á EN HAUT
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