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Expression du
droit face
au non-droit
De l’erreur manifeste
à l’autorité du droit |
Le droit possède un caractère supranational notamment illustré, au-delà de l'histoire
des nations, par l'histoire de l'Europe,
de l'Union européenne, et du Continent
européen. (15 août 2015) |
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Histoire de la
Roumanie Dacie Premières invasions XIV° s. au
XVII° s. Principautés orthodoxes (Moldavie,
Valachie, Transylvanie) 1435 au
XVIII° s. Stéphane le Grand, résistance héroïque ; 1848 à nos jours Aide de la Russie à la reconquête ; 1989
à nos jours A noter – Diverses médailles d’or roumaines aux Olympiades scientifiques (2014, 2015, …) Filmographie du site |
Histoire de l’Ukraine, et
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L’ignorance volontaire du droit attise contre nos
semblables, la haine sans laquelle elle ne conçoit aucune vérité Quel antidote aux dérives ? |
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Un « passeport » pour l’Etat de droit §
L’antidote de KUROSAWA ! « -
D’accord, le monde est pourri, mais ce n’est pas une raison pour le pourrir davantage ... » (Chien enragé,
KUROSAWA, 1949) |
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Purification de la conscience et paix dans le monde §
Arbitrage de la
grande histoire Il n’existe aucun principe
d’intégrité du territoire, mais un principe d’intégrité du droit, dont l’application à la question du
territoire, caractérise le droit international. §
Elargir la prise
de conscience née de la question romaine A la fois latin et orthodoxe (Colonne
1), le milieu roumain est le plus susceptible, sur le Continent européen, de
susciter le travail de mémoire effectif à la prise de conscience du droit. Ainsi, nulle division territoriale —
comme l’Ukraine — ne devrait entraver la résolution de la question de l’intégrité du droit de tout ou partie de
la société ! (20 août 2014) |
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§ Le drame Pour bien situer
la gravité du problème, on peut se référer à l’époque héroïque
où la population travaillait aux champs – ce monument du cinquième art date de 1949. De nos jours, avec
le Sida, le traumatisme est encore
plus grand, et rien n’indique que nous ayons fini de tomber de Charybde en Scylla
(n° 18). Mais on peut aussi se replonger dans les racines
historiques du drame de l’affrontement entre chrétienté et
modernité, dont la mauvaise fois fait son alibi majeur. § La prise de conscience – Le problème, hier comme aujourd’hui, est de voir que le monde tel
qu’il est, et résulte d’un long processus : pour le changer, et du moins
pour améliorer les choses, seul un long processus peut être efficace aussi. A cette fin, par le truchement de l’intégrité de
son inspecteur de police, Kurosawa nous
encourage à nous désolidariser de la médiocrité ambiante et nous consacrer
entièrement à notre art ; pour le moins, il décoche une formule (encadré)
propre à faire tomber l’alibi et le masque de la vulgarité. § L’analyse Tout l’art de
Kurosawa consiste, face à un public peut-être insuffisamment déterminé, à
montrer que cette pathologie
peut être évitée, et à délivrer ce message en ne sollicitant que
l’observation, dont l’art a été érigé en civilisation, par-dessus les ères
romaine et chrétienne - d’Euclide à nos jours : par les Occidentaux
cette fois. |
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dimanche 5 mars 2017 à 16:19 - retour á EN HAUT du
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