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Ignorance des travers de la collusion
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Socialisme 2012 :
une promesse diabolique |
La corruption des
savoirs lui paraissant suffisamment avancée contre l’enseignement cohérent qui pourrait en révéler les subterfuges, la conjuration
socialiste contre le droit voudrait préparer la chair à canon
d’un choc frontal que la gauche appelle de toutes ses forces,
là où François Fillon mise sur le
tissu social : formation et responsabilité. (5 septembre 2011) |
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Franchir La nécessité d’un pardon collectif, n’est certes pas
facile à comprendre, mais le cliquet par lequel se maintient la pression, ce
sont les (10 nov. 2010) |
Qu’est-ce que l’angélisme patronal ? A défaut d’être sollicitées aux tâches utiles, bien des intelligences
en jachère ont pris l’habitude de se consacrer à leur petit confort et à leur image de marque. C’est
cette erreur qu’il faut corriger en apportant aux jeunes entrepreneurs le
moyen, avec la « QPPO © », de
comprendre, avec le « Zen »,
et mettre en oeuvre, avec le « Kaizen », l’esprit
nécessaire à cette fin. |
Guerre et paix
Condition de paix dans le monde Libérer la société du communisme,
forme généralisée du phénomène de
collusion déjà cerné 5 siècles avant Jésus-Christ par le peintre Appelle de Cos, suppose plus que le simple appel à l’ouverture d’esprit sans laquelle il n’y a plus ni
plaisir ni possibilité de vivre dans l’harmonie entre classes sociales et professionnelles : servir la
liberté et la paix consiste donc, après avoir dûment dénoncé l’autorité
dévoyée des esprit fermés et retranchés derrière de mauvais niveaux
d’abstraction, à inviter au respect du droit,
en général, et du droit du travail en particulier. (15.11.2009) |
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Le piège du ZQP (Zéro Qualité Participative) L’angélisme et la tyrannie sont les deux
faces de la même ignorance de la contrainte légitime de comportement
inhérente à la vie sociale. § Qu’est-ce
que le ZQP (Zéro Qualité Participative) ? C’est la situation
à laquelle trop de dirigeants, pris entre le noeud gordien
de l’organisation
et la pression économique,
finissent par réduire la vie de leur entreprise. Avant de nier le
phénomène – déjà cerné en 1958
- ou de le prétendre corriger, il faut en cerner les contours de manière concrète
et comprendre le spleen du dirigeant : que ferions-nous à la place des
dirigeants pour améliorer les choses ? C’est pour aider à cette prise de conscience,
en nous mettant un instant dans la peau d’un dirigeant de PME - dont le tissu
économique est le plus important de la nation - face à ses dilemmes
quotidiens, que nous invite l’exposition 2006.
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dimanche 5 avril 2015 à 09:48 - retour á EN HAUT du
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