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                           Etat des lieux   contradictoire     de    la sociologie

 

Sociologie du droit,
état des lieux de l’autorité dans le monde

L’abstraction excessive et l’amalgame, non pénaux, mais les plus graves
L’abstraction insuffisante et la faiblesse, non condamnables, mais honteuses
La trahisonla plus répandue — tombe en revanche sous le coup de la
loi pénale ! (2 janv. 2017)

 

Retour à l’ordre moral ?

L’injustice manifeste peut causer la colère ; son amalgame avec la « violence » aggrave l’injustice ; a contrario, prendre ses distances avec les gens arrogants permet de s’éloigner de l’agitation ambiante

Recherche

Il ne s’agit pas de guillotiner en série des violeurs par milliers, mais de

Après le viol en série au Kenya1, d’une jeune fille piégée, seul le distinguo entre l’exercice exceptionnel de la justice et son exercice habituel, permettra d'envoyer aux violeurs potentiels du monde entier, un message fort, comme en Inde, tout en préservant effectivement l'humanisme : le viol d’intimidation reste un crime, même face à la nécessité, le cas échéant, de juguler de premières dérives.

 (27 oct. 2013)

Note 1Une pétition proposée sur Avaaz :  http://www.avaaz.org/fr/
justice_for_liz_loc/
?bJfzSbb&v=30689

Abolitionnisme commode,
mais
violations aggravées

Des errements inacceptables, même en France — grande collusion — le phénomène de méta-collusion à disperser pour revenir au droit.

§  Méta-collusion, la religion pour alibi

Certains Musulmans se croient autorisés à violer au nom de la religion, comme il y a huit siècles, les Croisés se croyaient autorisés à tuer au même motif.

§  L’impunité pour complice

Injuste pression de la collusion des obscurantismes et de l’insouciance.

§  La provocation, forme aggravée du mérite malfaisant

En France, où la Loi « Marthe Richard » interdit la réglementation du commerce du sexe depuis 1946, la gauche conforte aujourd’hui non seulement la « position abolitionniste », mais elle tend à imposer les relations homosexuelles comme un standard de société, à défaut d’imposer le droit comme un standard.

La montée des antinomies sociales s’explique par un manque préoccupant de culture

Radicalisation
des milieux religieux

Des meutes de loups errants se permettant aujourd’hui de violer les femmes à mort derrière des remparts de bêtes insensibles, en Inde, comme en Egypte, ou de battre des homosexuels, en Afrique.

Or ces extrémités sont les fruits directs, respectivement ; de l’obscurantisme laïc contre la religion ; et du prosélytisme homosexuel, par lequel la collusion fait diversion pour mieux dissimuler le détournement des fonds publics. (22 fév. 2013)

Etat des lieux du droit dans le monde

Aujourd’hui, le viol avec récidive constitue un indicateur lourd de la lente dérive de notre société, avant état des lieux plus détaillé.

§  Canada, manque de fermeté en 2013

S’il suffit aujourd’hui, même au Canada, de calomnier ses victimes pour se soustraire à toute justice, c’est parce que le mal est solidement retranché : ce sont ces retranchements que les nations les plus droites doivent renverser dès l’école en affirmant le droit par un fondement à la fois clairement articulé mais suffisamment protégé. (13 avril 2013, modifié le 14)

§  France, noblesse d’une politique respectable

1.   Ce que nous avons à prendre en compte aujourd’hui est un problème de société occulté en France depuis un demi-siècle, avec la Marthe RICHARD

2.   Où est passée la liberté de corps et d’esprit des années 50: il ne s’agit pas d’inciter à la débauche - la loi SARKOZY contre le racolage n’est pas incompatible avec la présente considération - mais d’éviter les effets pervers de l’austérité - frustration, viols – sans oublier que le rejet facile de toute prostitution contrôlée est non seulement illusoire, mais il se fait le complice de l’exploitation violente du plus vieux métier du monde en ouvrant les portes de l’insatisfaction de la manière la plus large possible.

3.   On me fera observer que l’ambition de remédier à la détresse physique et morale de certains hommes en leur permettant de satisfaire leurs instincts avec des professionnelles de l’amour, aux conditions ci-avant précisées (2), ne résout pas le problème éducatif : ne conviendrait-il pas mieux d’inviter ces personnes à s’intégrer à la société en travaillant et en créant un foyer ?

4.   Oui : c’est tout le problème ! Mais le mérite de cette préconisation (1 à 3) est d’éviter d’aggraver les choses (5) à défaut de commencer par résoudre (afficher une ambition courageuse, définir l’exigence associée, établir une préconisation élargie, …) le problème de fond (« mauvaise » foi, ignorance, …) : comme le prouve hélas, si une autre preuve formelle de la dérive était encore nécessaire, le dossier des vespasiennes.

5. Mais il est plus facile de prétendre agir en mettant des bracelets inutiles aux violeurs à répétition et de flatter la société dans le sens de sa dérive : quel bien y a-t-il à prétendre résoudre le problème éducatif par la privation partielle des capacités physiques de la personne (incarcération, piqûres ou pilules incapacitantes) ? S’il est question de revendiquer l’emploi de 800 psychologues supplémentaires contre l’intérêt des victimes (on l’a vu : lâcher un loup dans la bergerie n’est pas la solution la plus avisée), ne peut-on prendre en compte, alors, les emplois direct et indirects d’une prostitution contrôlée, aux conditions palliatives ci-avant précisées (4), et tendre à résoudre le problème local (1) au lieu d’aggraver le problème global (3) ?

 

Document créé ou modifié le mercredi 23 mai 2018 à 05:14  -  retour á EN HAUT du document