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                             Modernité   protestante   mécaniste

 De l’approche à la philosophie du système du monde

L’expression de modernité mécaniste protestante se réfère aux deux chantiers simultanés de la mécanique et de la Chrétienté, tous deux résolus par l’émergence d’une église réformée, dite protestante, ce pourquoi il est fondé de prendre une référence religieuse pour rendre compte de l’histoire de la science. (16 fév. 2012)

Bien enseigner
la construction

Si le caractère industriel se réduit aisément à la production de série ou bien à l’automatisation,

réduire la modernité à l’informatique

est le travers d’un enseignement technique dissocié de ses fondements

au détriment de l’autorité légitime

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Un sursaut intellectuel et moral vers la civilisation de la construction

Présence protestante
et droit galiléen

Descartes et Newton donnent à la méthode, le caractère historique d’une bonne nouvelle, au cœur de l’épopée de la raison : la morale protestante est aussi le fondement de l’école

Concilier ordre et liberté

Il ne suffit pas de supprimer les vespasiennes pour servir la morale ni d’informatiser l’école pour servir la modernité, mais il s’agit de redistribuer les énergies mobilisées en conflit au profit d’une issue que tous espèrent.

Le site 2rh complète les enseignements existant en France par la vision qui fait actuellement défaut à son école - de même qu’au 17° siècle, Newton remporte le pari éducatif clairement posé par Descartes, en 1644 :

§  Au 17° siècle, il s’agissait de pallier à l’obscurantisme de 3 siècles d’inquisition.

§  Au 21° siècle, il s’agit de palier à l’obscurantisme de 3 siècles de révolution (ci-contre) 

Université française, des retranchements à renverser

 Protestants et mécaniciens
ruinent l’Inquisition

On peut dire qu’Hitler fait de l’ombre à Newton, pourtant vainqueur, en 1687, du pari cartésien de 1644, dans le respect de la religion.

§  Respect de la religion

La méthode commune, en effet, sonne le glas de l’Inquisition, mais l’intelligence, au centre de la modernité européenne et mondiale, reste longue à promouvoir, en raison de la diversité des identités qui la composent.

Par ses crimes contre l’humanité, en effet, Hitler a non seulement transgressé toutes les lois humaines et terni l’image du milieu Anglo-Saxon, mais il a directement nui à la promotion la plus prometteuse de la spiritualité, après un millénaire de recherche.

Ce constat prouve combien il est difficile d’être à la fois juge et partie, notamment au regard des contributions décisives des Anglo-Saxons à la science de la construction mécanique, transition effective entre L’Inquisition, et ce caractère moderne qu’il fallait mieux cerner.

Et l’instrument de cette injustice est l’insuffisance – au-delà de la confusion entretenue par l’université française – de la considération par laquelle les anglophones réduisent l’usage et la portée du qualificatif « Anglo-Saxon », alors que dans le milieu francophone, cette expression renvoie clairement au milieu germanique.

Mais rien ne rend mieux rendre compte de l’écart intellectuel et moral entre Français et Anglo-Saxons, que la référence à la civilisation, parfait révélateur tant des retranchements de l’université française, que de la vertu à enseigner (18 mars 2009 – 15 mai 2009)

Au total, prétendre enseigner l’histoire sans rendre hommage à Newton est vain, mais enseigner l’histoire sans rendre compte du mépris de Louis XIV tant à l’égard des Lumières d’Outre-Manche qu’à l’égard du paysan français est dangereux. (2006)

 

 

Document créé ou modifié le lundi 13 novembre 2017 à 12:18  -  retour á EN HAUT du document