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« Jeunesse, école et
démocratie »
« Réformer l’esprit de
l’enseignement », (Henri COUTIS, 1959) |
Les milliards supplémentaires alloués aux enseignants, en vain, profiteraient aux jeunes et à la vie sociale si (et seulement si) l’on remplaçait le barrage de l’abstraction par une invitation digne à réfléchir au bon niveau d’abstraction. (3 juin 2012) |
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Le fait que le Zen est ennemi de l’agitation ne doit pas être un alibi pour inhiber les
énergies ; certes,
un peu de calme est nécessaire, mais la tolérance est aussi et surtout une question
d’intelligence Grandeur et
décadence de l’Empire Romain |
Face au monstre Collusion haïssable de l’enseignement général
contre Fermeté exemplaire du milieu technologique. La communauté mondiale des ingénieurs et
techniciens est caractérisée par la connaissance
et la pratique d’un langage universel
spécifique. § Conscientiser
le droit Il ne manque à la communauté du droit que de promouvoir les vertus de cette
universalité au‑delà des métiers techniques. De la même
manière, il y a urgence à affecter les ressources aux enseignements utiles et minimiser les mobilités abusives d’un intellectualisme pervers
inhibiteur inutilement lourd pour le budget. (28 juill. 2013) |
CALVIN, COUTIS,
même combat !
Ce qui est énorme
…
C’est la couardise
des élites, tôt cernée par l’ingénieur FONTIGNY. (21 mars 2015) § Contre
Pierre-Richard CROCY … En 1968, à Grenoble,
en 1997, à Ermont, … § Contre
le Docteur RG HAMER … En 1998, à Chambéry ; § Contre
Henri COUTIS … En 2016, au rectorat de
Grenoble … § Quant au choix des élites « L’intérêt
général demanderait que la
Nation cherche et choisisse ses élites là où elles sont » (Henri COUTIS,
Jeunesse école et démocratie, le travailleur de l’enseignement technique n°
131, juin 1959) |
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Actes
de guerre Arc
de triomphe, Saint-Sulpice, Notre‑Dame,
… |
« Gilets jaunes », le
dossier Note introductive à la collusion
de l’université et la rue,
Il y a quelque
chose d’absurde et de malsain
à ignorer le caractère scientifique et technologique
des Lumières. C’est pourtant à cette position absurde que se tiennent les
généralistes du milieu universitaire français, qui réduisent l’école au commerce du rigorisme. § Cerner les griffes de la collusion Tous les enseignants ne sont pas médiocres et toute médiocrité n’est pas enseignante, mais la collusion de la médiocrité et de l’enseignement général
est ce qu’il y a de plus dangereux. (19 juillet 2012) § Séparation à minima François HOLLANDE
promulgue en 2013, enfin, une loi tendant à séparer les activités bancaires,
selon la parution au JO du 27 juillet 2013 ; le 4 juillet 2012,
déjà, David CAMERON avait conforté l’initiative de Nicolas SARKOZY
par laquelle on levait enfin le lièvre de pratiques financières à surveiller.
Malgré l’évidence de
la mauvaise
« foi » de
tels enseignants, égoïstes, pervertis, et fermés à toute
discussion sérieuse, il convient de préciser en quoi la bonne
foi d’autres généralistes ne peut pas être mise en doute. Le « Siècle
des Lumières »
est en effet défini ainsi par le fait qu’au 18° sicle, on a commencé à
prendre conscience de l’importance de ce qui s’était passé au 17° siècle, et
que j’appelle la bonne nouvelle du 17° siècle. Or le décalage dans la
durée entre les causes et les effets relève précisément de cet ordre
chronologique dont la considération a permis à Newton d’établir sa méthode, et
qu’il fallait rendre explicite au 21° siècle. Enfin, il faut saluer le travail
honnête par lequel certains « littéraires »
contribuent courageusement (Wikipédia, article Méthode de travail) malgré leur ignorance des sciences et techniques, à cerner la
technocratie dont les esprits honnêtes cherchent à
se défaire. |
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mardi 28 janvier 2020 à 08:23 - retour á EN HAUT du
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