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Approche scientifique
du
changement
Approche du processus de substitution |
En 2012, Nice-Matin s’était saisi du dossier roumain à
l’occasion de la publication de la version française d’un roman historique
relatant en 2005, la transition de la
dictature après 1989. |
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L’investigation
progressive Appelle de COS cerne le phénomène de collusion, Henri COUTIS cerne le
phénomène de la paresse
mentale, Jérome LOGRE cerne le
phénomène du Cheval de Troie de la physique |
Etat d’urgence L‘ennemi n’est pas une ethnie,
une race ou une religion ; cela n’était pas le cas hier, face à HITLER :
c’est encore ainsi aujourd’hui, face à BASESCU.
(29 nov. 2015) § Routines Aspects
thérapeutiques complémentaires des routines du changement, et
distinguo entre mauvaises habitudes et mémoires techniques (praxies, …) § Approche de la productivité rituelle Méthode – Faire A tant que non B Vertu – Non M et B Vice – M et non B Asservissement - Non B tant que faire
se peut (loi du silence), et M (substitution)
au moment fatidique par détournement
de B |
L’initiative
diplomatique française du 6 déc. 2014 Le voyage-éclair de François HOLLANDE à Moscou
témoigne d’une réelle prise de conscience du non‑droit. (8 décembre 2014, fête des Lumières.
Rectifié le 25) § Constat, en prise avec les
réalités Le BRICS, c’est 7 fois la surface de l’Union européenne, et Vu le filtre réducteur
de la presse française, toutefois, il est très difficile, en
France, de se faire une idée même approximative de l’histoire du monde — et encore moins d’apprécier la
dérive intellectuelle et morale de l’Union européenne contre le reste du
monde. (26 octobre 2014) |
Libération – Non seulement
non M (motivation) mais aussi et surtout B (bienfaits) par protection (fondement de
l’école) de la vie sociale.
§ Consolidation de la reconstitution des faits Considération du
changement au sommet de la
recherche et du droit (3 juillet 2014) Classes
d’équivalence » La plus belle
abstraction est peut-être la notion de classes d’équivalence, mais le plus souvent,
cette conquête créative ne profite qu’à des couards retranchés. Certains
professeurs, en effet, n’expliquent jamais les prérequis à leurs élèves, avec
l’alibi que certaines choses sont évidentes. Mais qu’y a-t-il de moins
évident que l’abstraction excessive ! L’élève imagine
mal que des adultes de bonne foi, sensés l’aider, utilisent un tel
vocabulaire dans le seul but de les inhiber. Il est alors réduit aux
hypothèses, et imagine à tort une fiction
dont il peut rester prisonnier toute
sa vie (Platon, mythe de la caverne). § Prétention justifiée Un vocabulaire
aussi arbitraire mais précis n’est justifiable que dans un cas : en mécanique, par l’observation de classes
d’équivalence cinématique. § Extension du barrage de l’abstraction Les petites
tracasseries du milieu littéraire consistent en la triste parodie des
attributs du milieu scientifique que sont l’esprit d’analyse ; et
l’usage, hors contexte, des outils de ce même milieu scientifique ! La mission éducative
consisterait au contraire à grandir ce qu’il
faut grandir pour améliorer les choses, à commencer par
l’éducation familiale, dont le fil conducteur entre toutes choses, lorsqu’il
existe, constitue un objet
transitionnel précieux. Ainsi, à l’école,
la célèbre méthode globale tire son autorité usurpée de la
si fructueuse théorie des
ensembles, là où de toute évidence, l’esprit demande
plus à se construire qu’à toucher au génie conceptuel des Lumières ! Au collège, les petites tracasseries consistent à opacifier
par une couche d’abstraction superflue, l’exigence de rigueur relative à
l’acquisition de la grammaire, contribuant à développer l’illettrisme. |
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lundi 3 juillet 2017 à 15:55 - retour á EN HAUT du
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