Fondation
du verseau pour la paix

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                               Errements  créatifs   et  prospective

Guerre aux préjugés

Une bonne question, même embarrassante, suppose au moins le début d’une bonne réponse

Paix en 2025, un nouveau souffle

Nostradamus prédit de grands malheurs au terme desquels, toutefois, il voit la paix du monde
pour 2025

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1984-1687

L’un des freins, à l’organisation de toutes choses, est…

Le « risque » totalitaire — tôt redouté par  Georges ORWELL.

Or cet enfer, dans la fiction communiste à examiner, est…

amalgamé par médiocrité à la culture anglo-saxonne.

 Affranchir le monde
de l’emprise des malfaiteurs, sans hypothéquer la bonne
marche du droit, consiste donc à dénoncer le drame, puis à laisser chacun agir pour le bien
 de tous. Et c’est cette…

(18 août 2016)

HOLLANDE bon,
TAUBIRA pas bon !

 

Cela dit, il y a aussi en matière de haine raciale, une 4° erreur, caractérisée la prétention à combattre le racisme par une sélection de résistance qu’il faut qualifier de travers composé du racisme, et cette erreur, hélas, Christiane  TAUBIRA, qui a consommé tout son crédit, l’a faite jusqu’au bout ! (25 déc. 2014).

 

Un troupeau de moutons, y compris les Français, que l’inculture parisienne suffirait à tromper. Réveil salutaire, et

Prise de conscience du non-droit

Et maintenant, on se perd en conjectures pour savoir qui pourra éteindre le feu allumé contre un milliard d’arabes ?

      § Violations du Traité de l’Elysée

Pourquoi les Français ne peuvent-ils pas tenir debout tout seuls, sans retomber dans les treavers qui ont déjà obligé le monde à d’immenses sacrifices en 1944, pour sortir la France du bourbier dans lequel elle s’était enlisée depuis la répression du milieu protestant par la Sorbonne, au XVI° siècle. Et l’anti-germanisme, aggravé par les deux grands crimes d’HITLER, était allé grandissant — malgré le Traité de l’Elysée.

      §    Sur l’autre front du chantier de la paix

Par ailleurs, ils s’en prennent aux Arabes, avec l’alibi de laïcité, au point que ces derniers, déjà peu sensibles à cause d’une mauvaise compréhension de la religion, recommencent à égorger les êtres humains comme ils égorgent les moutons !

§  A cet égard, il faut absolument

lever le malentendu gravede très mauvaises réponses à la question implicite de la philosophie de l’action, sous-tendue par l’énigme la plus dense. Mais il ne faut pas inverser les rôles, et voir la paille sans voir la poutre.

§  Le début au moins d’une bonne réponse

Ne pas trouver est excusable ; ne pas chercher l’est d’autant moins que l’insouciance se donne les plus intègres pour ennemis — fussent-ils Chrétiens, comme les Protestants, ou Musulmans, comme les Arabes. (25 déc. 2014)

« Où allons-nous ? » (colonne 1), demandait Mouans-Sartoux en 2011, six ans après l’objectif de qualité participativeoffert au monde

Dans ces circonstances, pas besoin d’être devin pour comprendre que le scénario négatif est la méta-collusion du racisme anti-blanc entre Arabes et noirs, au centre de l’Afrique. Un cauchemar, duquel il faut se réveiller.

§  Venir en aide aux Africains

Quant au scénario positif, cet aspect des choses existe déjà aussi et porte un nom — la Gestalt de l’histoire. Mais l’histoire du millénaire écoulé est très dense. Raison pour laquelle il fallait renforcer cette pédagogie créative par un apport théorique complémentaire : la pédagogie des trous noirs. (25 déc. 2014)

 

 

 

 

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