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Commerce cynique de l’obstruction
au droit !
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Motivation |
Certes, DESCARTES
porte le flambeau du droit très
loin. Mais le « Discours »
de 1628 cristallise un nationalisme abject,
en réaction, dès 1634, à l’autorité toujours plus manifeste du milieu
protestant : L’absence d’erreur
individuelle manifeste ne disculpe les généralistes du
milieu éducatif français de l’intention générale délibérée de maintenir un commerce
frauduleux contre le droit, et pour le moins, d’entretenir un mensonge d’état sous couvert de ne pas être
responsables : jusqu’à quel point ? (16 avr. 2015) |
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Bête de la corruption Ne plus rien acheter ni vendre sans la marque de… La bête — « dont le nombre est
666 » — non seulement insatiable, et qui ne tolère aucune vie — écrasée « comme des mouches » (21 août 2016) §
Contexte de l’investigation Le marxisme au coeur de l’université Prétentions au droit dans l’affaire GALLAGHER Prétendre juger un individu serait à la fois inélégant et vain,
toute prise de risque étant sans espoir de progrès en retour Mais prétendre juger tout le groupe, si
l’on a cette capacité, c’est espérer le faire revenir à la normale sans
mettre personne dans l’embarras. |
Présomption d’innocence Certes, on ne peut
pas exclure que des intentions honorables aient pu présider à la création de l’académie française, mais la Création suspecte
de 1634 — 6 ans après la publication des idées protestantes
de DESCARTES, sévèrement mis à
l’index par l’Inquisition
romaine, et rappelons-le, 24 ans après l’assassinat d’Henri IV —
est cousue de fil
blanc, et d’autant plus suspecte que l’Edit de Nantes était encore en
vigueur. § Absolutisme aveugle ! S’ajoutent à ce
changement d’objet abusif ; depuis 1685,
l’institutionnalisation de la violation de la
liberté de conscience en France, par un abus absolu que le milieu
académique minimise par le terme « absolutisme » ; et depuis 1687, l’ignorance
délibérée de l’autorité légitime. (15 avr. 2015) |
Trou noir schismatique du droit En 1666,
l’académisme Entre Inquisition et Révolution En 1634, RICHELIEU fait obstruction au protestantisme avec l’académie française. En 1666, COLBERT va plus loin, et « fidèle » à MAZZARIN, enterre les bases de l’édification par une confusion dont LAPLACE sera
involontairement l’alibi. § Harmonie des chiffres de Pythagore L’académie des sciences de 1666 doit faire oublier DESCARTES,
dont l’aura se voit encore trop — noter le chiffre « 666 » — pour
asseoir la pensée dominante La succession de drames — régicides,
massacres, guerres
— survenus en France depuis
4 siècles contre le milieu anglo-saxon
protestant, n’est pas le fruit du hasard, mais c’est le résultat
d’un académisme délibéré § Compte-rendu
et bilan de cet académisme rétrograde Cet académisme commence par la dissimulation
de la radicalisation de Rome — schisme de 1054 — et présente
1076 comme une « querelle » — qui ne serait donc pas imputable à
l’église ... A supposer qu’en 1634, la création de l’académie française ait
visé à défendre les intérêts de la France, plus que ceux de la collusion, il
est certain que cette intention louable a été ensuite détournée par le projet
frauduleux de défendre les intérêts de la collusion de la
Sorbonne et de Rome contre le droit universel. |
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N° 6, menu « Modernité » |
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