|
|
Culture - Droit
- Ecologie
- Education
- Information
- Pareto
- Politique
- Productivité
- Raison
- Santé
|
Intolérance des idéologues de
l’éducation nationale
|
Monstruosité |
Les trafics
réduisent la philosophie
au barrage2
de la psychologie et du rigorisme : « pas de certitudes » La fonction
turbo 2rh harmonise certitudes et limites
inhérents à la vie sociale : « Deal mondial »
de la paix. 1 Thème de l’Université d’été
2009 de l’Espace des possibles, entachée par la pression criminelle de l’administration 2« L’éducation nationale
(française) a pris la tête d’un combat qu’elle
imagine exemplaire. » (Joseph Veillard,
CAPLC) |
|
|
Invitation J’ai rencontré tant de choses intelligentes en tous lieux que je ne
vois aucune raison de ne pas en
trouver aussi chez les Témoins de Jéhovah
— et cela d’autant plus qu’ils étudient et réfléchissent plus
que les autres Eviter l’amalgame entre la tradition du mérite, mise à mal par la
collusion, et les crimes d’Hitler,
dont la considération obligée ne saurait cautionner la négligence de cette
tradition, sans hypothéquer l’autorité légitime. Preuve des
positions retranchées |
Un diagnostic « La dictature des syndicats » 3 §
Perversité
2016 du même diagnostic Vu la dialectique
suspecte d’Alain TOURAINE, vu la prudence, il y a lieu de libérer la
France du communisme, et pour le moins, de se libérer de la vanité : « L’éducation nationale,
c’est la rue de Grenelle et les
syndicats — au « sens le plus
stalinien4 (???) du terme »5 § Dérive marxisante de
la laïcité
française Comme toute chose,
elle possède des causes et des effets. § 1996, prémices de
« l’affaire d’Ermont » Pourquoi des
enseignants, « délégués
syndicaux en tête » (Mémoire du Recteur),
agressent-ils le Proviseur du Lycée Ferdinand Buisson ? § Notes 3La dictature des
syndicats, Bernard ZIMMERN, Albin
Michel 2003 4Alain TOURAINE,
France‑Info, 22.11.2016, 15 heures 5Parler de sens pénal eût été plus juste |
La cible de la formation est l’élève, mais la
condition pour l’édifier, est de surmonter
l’obstruction des gens du livre Vu l’escalade des mauvais moyens
§ Mépris de la vie sociale
La collusion des enseignants généralistes est
caractérisée par l’ignorance
volontaire de toute éducation,
et donc du minimum de civilité auxquels l’école de la démocratie est précisément
sensée inviter
l’élève. Un processus d’inhibition puissant, qui entraîne le Proviseur du lycée Ferdinand Buisson d’Ermont à faire
machine arrière en projet
d’établissement et à diffuser les calomnies
développées à mon encontre, et dans mon dos, par ses agresseurs. Ce qui différencie
la gauche de la droite vertu, au-delà du choix des moyens, est tant la volonté de nuire
que la volonté de maintenir un commerce injuste mais commode :
la fiction. |
|
Chronologie abrégée L’accès à
l’humanisme délibérément occulté ! § 1997, la poudrière Dans cette affaire, caractérisée par l’engagement
sans faille d’un enseignant hors du commun, l’expression
« dictature des syndicats
» — pleinement justifiée du point de vue du mérite, rend très insuffisamment
compte de la psychose contre le droit. (Rectifié le 29 nov. 2016) § 2002, un jugement sans appel Si anti-démocratique soit l’attitude de certains
enseignants, en effet, l’autorité des
syndicats n’est pas plus concernée par la collusion
que ne l’est celle de tout autre groupe de pensée. Saisi de cette
affaire en 1998, le Tribunal Administratif de Versailles a d’ailleurs produit
un travail de fond inattendu, qui a permis de clore
ce dossier sans appel. § 2007, clé de l’élévation sur les faits Cette victoire de la
noblesse sur la calomnie
et la collusion ne doit pas faire oublier, pour autant, la lenteur d’une progression
dont le signe caractérise le combat de David contre Goliath pour la démocratie. |
||
Document créé le 30 mars
2007 et modifié le 6 avril 2021 à 15:53 - retour á EN HAUT du
document